Noémie Lindemann
J’ai 21 ans, je viens de la région parisienne. J’effectue un stage à l’association dans le cadre d’une licence professionnelle Médiation Scientifique et Education à l’Environnement à Tours.
Passionnée depuis toute petite par la nature et les animaux, en particulier l’ornithologie, j’ai, dès le lycée, orienté mes études sur l’environnement et sa protection. Grâce à mon parcours scolaire et mes multiples stages, je sillonne les différentes régions de France et découvre leurs spécificités.
Au sein de SOS Loire Vivante, je réalise et aide à la conception d’outils pédagogiques. Je me plonge aussi dans l’étude et la découverte de la faune et la flore locale lors des sorties de repérages pour les animations. Pour la rentrée, je suis à la recherche d’un emploi où je pourrai associer la protection et la sensibilisation à l’environnement à ma passion pour la photographie.
Alizée Fayolle
J’ai 22 ans et je suis originaire de Firminy / Monistrol-sur-Loire. Depuis toujours, j’aime l’eau, la nature et les animaux. La préservation de l’eau me tient particulièrement à cœur, savoir que dans certains pays elle manque cruellement me bouleverse énormément ce qui me pousse à vouloir agir, à travers des gestes quotidiens mais aussi par des actions concrètes, pour éviter qu’un jour nous en manquions nous aussi. Actuellement, je suis en première année de master Gestion de l’Environnement. J’aimerais travailler en Haute-Loire, un département qui m’est cher. J’ai donc toujours recherché des stages dans cette région pour découvrir les structures locales engagées dans la protection de l’environnement, ce qui m’a conduite à SOS Loire Vivante au Puy-en-Velay. Cette association, qui œuvre pour la préservation des rivières et des ressources en eau, m’a beaucoup touchée par son histoire et son engagement. Durant mon stage, j’ai l’opportunité de réaliser de la cartographie, notamment en lien avec la préservation de la Haute Vallée de la Loire suite à l’abandon du projet de barrage de Serre de la Fare. Découvrir les dégâts que ce projet aurait pu causer m’a profondément marquée et a renforcé mon intérêt pour les enjeux de préservation des rivières. L’an prochain, je poursuivrai ma deuxième année de master avec l’objectif de travailler dans le domaine de l’environnement.